Le blog de domina louise
Avec ou sans scénario… Vraie fessée, à mains nues, sur mes genoux slip, pantalon entravant vos chevilles, cuisante et magistrale, humiliante avec punitions associées (piquet, moqueries…)
Séance: 45 minutes 60 €
Extrait du texte " Une semaine de fevrier pas comme les autres":
"...Dom Louise est d’ailleurs très claire au téléphone. Elle ne pratique pas le « pan pan cul cul » selon sa propre expression mais bien la fessée punitive.
Après un voyage en TGV pour me décider, nous tombons d’accord sur une fessée matinale. Dom Louise me rejoindra à l’hôtel à 7 H 30, et s’occupera de mon cas.
La nuit qui s’en suit est plus que mouvementée.
Je me réveille à 3 H en sursaut, je viens de rêver d’elle. Dans mon rêve, je la croisais à la réception de l’hôtel, en rentrant de diner avec un collègue. Sans nous connaitre, son regard me faisait comprendre que c’était elle, et mon collègue, manifestement au courant de mes penchants, me laissait seul avec elle. Ouf, ce n’est qu’un rêve.
Nouveau réveil à 5 H, après un ultime rêve de mon futur bourreau, assez proche du précédent, amis c’est avec ma famille ce coup ci.
A 6 H, je me réveille à nouveau, me prépare, et je commence à attendre, avant de m’apercevoir que j’ai une heure d’avance. Dur dur ! Encore une heure à attendre, à me faire des films et à stresser.
Dom Louise m’a demandé de la recevoir habillé, j’ai donc revêtu une chemise et un jean, mais mon coté pervers m’a poussé à ne pas mettre de slip. Compte tenu de la suite des évènements, je me demande à l’heure où j’écris ces lignes si je n’ai pas fait une erreur. Mais bon, je ne regrette rien.
7 H 30, le téléphone sonne enfin, Dom Louise vient d’arriver à l’hôtel. 3 coups fermes à la porte.
Je me précipite pour ouvrir la porte de ma chambre à « super Nany. Dom Louise n’est pas très grande, elle a le look de la Maitresse anglaise, les lunettes sévères et une robe un peu stricte. Son bonjour laisse transparaitre une grande humanité, qu’elle cache volontairement par une tenue destinée à en imposer. Sa démarche est volontaire et dynamique, et à cet instant, je me demande si je n’ai pas commis une grosse bêtise en acceptant de lui confier mes fesses. Mais il est bien trop tard pour reculer, d’autant que Dom Louise a déjà posé son manteau et son sac, et m’attends de pieds ferme.
« Alors, c’est toi le vilain garçon qui a fait des bêtises ! Explique-moi en quoi consistent les bêtises que tu as fait »
Je suis fortement impressionné par cette petite femme et par le ton péremptoire de sa voix. Je ne sais quoi répondre et baisse un peu la tête.
C’est à ce moment que je reçois ma première gifle. Et pas n’importe quelle gifle, de celles qui vous font vriller la tête sur elle-même, de celles qui vous blessent physiquement mais surtout au plus profond de votre amour propre. Les larmes me montent immédiatement aux yeux, mais j’arrive à les contenir.
« Alors, tu réponds » me lance-t-elle.
« Heu, j’ai menti à ma femme »
Une seconde claque du même acabit, vais-je tenir le coup ?
« Tu mens à ta femme, mais quoi d’autre ? »
Ma voix se transforme en un petit filet, et Dom Louise doit tendre l’oreille pour entendre ma prochain réponse tant j’ai honte de dire cela.
« Et bien, j’aime que l’on me fasse pipi dessus, et dans la bouche »
Dom Louise réprime un rictus de dégout, et m’assène deux nouvelles gifles bien sentie.
Elle s’assoit sur le canapé de la chambre, me demande de baisser mon pantalon et de venir m’allonger sur ces genoux. Moi qui ai bandé toute la nuit à cette idée, les quelques gifles que j’ai reçu ont remis ma queue à sa place, c'est-à-dire entre les jambes.
Je m’exécute, et en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, la main droite de Dom Louise s’abat sur mes fesses. Et quand nous avons parlé de fessée punitive, je peux le confirmer. Les coups s’enchainent, vite trop vite, mes fesses me brulent, la douleur est d’une intensité rare, et je commence rapidement à gesticuler à défaut de me débattre.
« Tu ne vas pas te mettre à brailler, j’espère » Me lance-t-elle. « Et arrête de bouger comme cela »
Et les coups reprennent de plus belle, 15, 20 je ne peux les compter.
« Allez, lève toi que j’admire le résultat de mon travail »
Je lève ma chemine pour qu’elle admire la couleur de mes fesses.
Mais le résultat ne lui convient pas. Je me retrouve une seconde fois en travers de ses genoux, les coups reprennent de plus belle. Je m’accroche à l’accoudoir du canapé, je tente de respirer et de retenir mes larmes, quand le calme revient.
Elle me demande de ma relever, et de lui montrer à nouveau des fesses brulantes qui doivent être bien rouge.
Elle se lève également et m’ordonne de lui embrasser les pieds en guise de remerciements. Je profite de ce court instant de répit, et m’exécute avec joie. Dom Louise a bien compris qu’un instant de repos était nécessaire, mais à mon grand damne, l’adoration de ses pieds est de trop courte durée.
Elle reprend sa position sur le canapé, et je me retrouve à nouveau les fesses à la merci de ses mains fermes. A cet instant, je commence à ne plus ressentir la douleur de la même façon. Les deux séances précédentes ont commencé à anesthésier ma peau, et j’ai beaucoup moins mal à chaque nouvelle claque, dont l’intensité n’a pas diminué pour autant. Aussi, c’est avec une légère déception, mais un peu de soulagement tout de même, que je l’entends dire :
« Je dois arrêter là, car si je continue, tu risque d’avoir des bleus. Tu n’a pas reçu assez de fessées ».
La séance est finie, et quand je remonte mon pantalon, je sens le contact du jean bruler mon postérieur.
Dom Louise prend le temps d’essayer de mieux me connaitre, et se dévoile un peu, c’est très agréable. Je crois que je reviendrais, en fait, j’en suis à peu près sur.
Je sais que la journée sera magique, je vais la passer réunion, et mes fesses écarlates me rappelleront toute la journée ce réveil en fanfare.
Jeudi soir, de retour chez moi, je n’ai pas résisté à l’envie, au besoin même, de regarder mes fesses dans la glace de la salle de bain. Cela fait bientôt 16 heurs que j’ai reçu ma correction, mais les fesses sont encore bien rouges, et quelques légères marques m’interdiront de montrer mes fesses pendant un jour ou deux, au risque que ma femme découvre mes penchants pour la soumission et la fessée.
Merci Divine Louise !
Divine Louise
je vais y passer, c'est sur, j'ai une eu une telle excitation dans l'attente que je me suis imaginé votre fessée main nue, vos gifles à remettre les idées en place. J'entends déjà les claquement sur mon visage. Dans la lecture des témoignages de votre blog,j'adore ce passage sans transition de la personne que j'ai eu au téléphone à DomLouise, on rentre dans le vif du sujet sans répit. J'ai envie de connaître ça moi aussi.
A bientôt
Mais il faudrait le punir des multiples fautes d'orthographes qu'il laisse dans son récit !
et dire qu'aucune trace des gifles reçues n'est visible,
dommage
à bientôt
Miss LyLi