Mercredi 8 avril
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J’ai conservé un souvenir cuisant de ma rencontre avec Dom Louise, cette fesseuse formidable de Marseille. Il y a
quelques semaines, je l’ai accueilli dans ma chambre d’hôtel, au petit matin, pour recevoir une véritable punition, dont mes fesses ont conservé les marques pendant deux jours.
Même si mes débuts dans le SM ont débuté par une séance de fessée qui m’a permis d’assouvir un fantasme, au cours de ma petite expérience dans ce
monde, j’ai souvent préféré la soumission et les humiliations aux pratiques purement masochistes. En fait, je suis plutôt douillet. Pourtant, de retour à Marseille, j’ai repris contact avec Dom
Louise pour solliciter une nouvelle rencontre. Je sais pourtant que j’aurai mal ! Mais je me sens en confiance avec cette femme.
Dom Louise a mon âge, et contrairement à certaines dominatrices que j’ai pu croiser, elle fait la part des choses, et sépare bien ses activités
de fesseuse dominante et sa vie familiale, qui semble d’ailleurs bien remplie. Je me sens en confiance, et vous serez surement d’accord avec moi pour confirmer que la confiance est la base de ce
type de rapports.
Comme d’habitude lorsque je prends un rendez vous de cette nature, ma nuit est agitée et peuplée de fantasmes plutôt inavouables. Et ce matin au
réveil, mon érection était la preuve de mon excitation. Ma journée de travail ne fut pas un exemple de concentration, et je profitais du voyage en train pour me reposer un peu. Bien m’en a pris,
car la soirée fut longue et riche.
Un passage éclair dans ma chambre d’hôtel destiné à être parfaitement présentable et propre sous tous rapports, et je prends le chemin du métro
Marseillais. La tension est telle que j’ai les jambes qui flageolent sur le trajet. J’ai peur d’être en retard, de ne pas trouver le bon quai du premier coup. Le doute m’assaille, et si je sais
dans mon fort intérieur que j’irais une fois de plus au bout de mes fantasmes, toutes sortes de pensée se bousculent à l’intérieur de mon cerveau torturé.
Sur les indications téléphoniques de Dom Louise, j’arrive enfin devant l’entrée de son repaire, mais la porte est fermée. Ai-je bien compris, ne
suis-je pas en train de batailler devant la porte d’un quidam ? Dom Louise vient enfin m’ouvrir sa porte, et me fait pénétrer dans un petit cabinet douillet. Au fond se trouve son bureau, sur
le coté un canapé est chargé de coussins, l’ensemble est chaleureux grâce à des couleurs au ton « rose fesse fessée » et à un éclairage adapté. Je me sens de suite rassuré, mais ce moment
de calme n’est que de courte durée.
Dom Louise me présente une chaise sur laquelle elle m’invite à poser mon blouson et ma veste, mais je me fais immédiatement rappeler à
l’ordre : « que font ces lunettes encore sur ton nez ? Tu crois peut-être échapper aux gifles que tu mérite ? » Je m’empresse de déposer les dites lunettes sur une
table, et me présente, tête basse et honteux devant elle.
« Alors, ma lope parisienne ! Tu as encore fait des bêtises je parie ! Allez, dis moi ce que tu as fait ! »
Je déteste ces instants au cours desquels je dois exprimer à haute voix toutes les turpitudes que j’ai accomplies. Je ne résiste jamais à mes
pulsions, mais c’est après que la honte se fait jour.
D’une petite voix, et les yeux rivés sur mes chaussures, j’avoue être allé sucer des queues dans un sexe shop parisien.
« Tu es vraiment une salope ! » me lance-t-elle avec une gifle retentissante. « Mais ne me fait pas croire que c’est
tout ? »
Alors, je dois avouer que j’ai recommencé une seconde fois. Et c’est deux baffes qui me marquent les joues.
« Et tu t’es encore fait pisser dessus, ma lope ? » Malheureusement non, je n’en n’ai pas eu l’occasion, et le ton dépité que
j’emploie pour lui répondre me vaut deux nouvelles claques bien senties.
Pour ceux qui ne connaissent pas, je dois faire un petit commentaire sur les gifles de Dom Louise. Elles sont d’une rare violence, aussi bien physiquement que moralement. J’ai l’impression d’être
un vilain garçon qu’on punit.
Dom Louise est contente de son effet, et je la sens parfaitement détendue. Elle s’assoit à son bureau pour siroter un verre de Jack Daniels, m’en
offre gentiment un, me fait mettre à genoux sous son bureau pour continuer de me questionner.
Elle m’interroge sur mes pratiques.
« Tu te fais enculer ? » Bien sur, dès que l’occasion se présente !
« Mais tu es vraiment une salope ! » Que répondre à cela, je vous le demande ?
« Et tu ne mets jamais de sous vêtement féminins ? » Mais bien sur que si, j’adore me travestir ! Dom Louise part d’un grand
éclat de rire moqueur. « J’aimerais bien te voir ainsi travesti, cela doit être bien rigolo ! Ne bouges pas, je vais voir comment tu vas pouvoir t’habiller »
Elle part dans une autre pièce, et je l’entends fouiller dans une armoire tout en prononçant des commentaires humiliants. Elle choisi finalement
une tenue dans laquelle je ferais bien pute, des bas blancs, un corset porte jarretelles noir, une culotte rouge (je lui ai avoué mon gout immodéré pour le rouge), et des chaussures à talons hauts
à ma taille. Je m’habille le plus rapidement possible, mais ce corset n’est pas simple à attacher, et je dois me bagarrer pour accrocher mes bas, pendant que Dom Louise me houspille pour aller plus
vite. Quand enfin je me présente devant elle, en claudiquant sur ces talons dont je n’ai pas l’habitude, Dom Louise éclate de rire. Manifestement, je ne ressemble à rien, sauf à un travesti sur le
retour faisant le tapin, mais qui risque bien de ne pas monter beaucoup de clients. Elle me fait marcher, tourner. Je manque de me fouler une cheville à chaque pas, ce qui augmente le rire
sarcastique de ma Maitresse.
Mais ce que Dom Louise aime par-dessus tout, c’est donner de véritables fessées.
Elle va chercher de quoi me bâillonner, et m’attacher aux barreaux de son canapé.La tension monte d’un cran, car je me souviens de la précédente
fessée, de cette main ferme et sans pitié. Dom Louise s’installe confortablement sur son canapé, et je m’allonge sur ses genoux. Très vite, les claques s’abattent sur mes fesses, régulièrement,
comme un métronome, la gauche, la droite, toujours plus fort. La brulure est intense, mais je ne peux, même si je le voulais, m’échapper de ses genoux. Une pause ridiculement courte, et les coups
pleuvent à nouveau. Je gesticule, mais c’est le miracle de la fessée, la douleur devient plus facile à supporter. Et c’est Dom Louise qui décide d’arrêter, de peur de me laisser trop de marques.
Elle me détache pour que j’admire le résultat dans une glace, et je peux constater la belle couleur rose de mes fesses. Mais j’en veux plus, et Dom Louise ne se fait pas prier pour me coucher de
nouveau en travers de ses genoux. Mes fesses commencent à regretter d’en avoir redemandé, mais mon cerveau se délecte de cette punition. On s’occupe de moi, on me corrige de toutes les conneries
que je fais, et cela me procure une sensation de réconfort. Et quand je me ferai fister tout à l’heure, les fesses bien rouges, le plaisir n’en sera que plus intense.
Après cette séance musclée, Dom Louise a besoin d’une petite pause, qu’elle met à profit pour mesurer l’étendue de mes perversions, ce qui a le
don de m’humilier encore un peu plus.
Avec mes hauts talons et mes bas blancs, je me confie avec délectation à ma Maitresse, et cela repose mes fesses écarlates et brulantes. Je
m’entends lui narrer quelques moments forts de ma vie de soumis, les fessées de Francis, l’éducation de Maitresse Sulfure qui m’a tant appris, mes jeux dangereux avec Maitres James, ou ma séance
d’initiation avec Paul.
Ce moment de repos bien mérité par les deux parties, Dom Louise me conduit dans une pièce attenante, au centre de laquelle trône une table de
massage et d’épilation. Elle m’ordonne de monter dessus, et d’attendre qu’elle se prépare, à quatre pattes, les jambes écartées. J’ai vraiment l’air d’une belle salope, et je suis heureux de
l’entendre me complimenter sur mes fesses. Ma position lui permet de parfaitement admirer son œuvre et le contraste entre mes bas blancs et mes fesses rouges semble saisissant. Pour ma part j’ai
hâte de sentir ses doigts fouiller mon intimité et forcer l’entrée de mon cul.
Quand elle est enfin prête, je reçoit une nouvelle réprimande. Je suis monté sur la table avec les chaussures, j’ai gardé ma culotte, et comble
de la maladresse, je dois dégrafer mes bas pour retirer celle-ci.
Je reprends rapidement la pause, et je sens les doigts gantés de Dom Louise forcer l’entrée de mon petit trou. Elle fait cela en douceur, et le
gel lui permet de me pénétrer avec une grande facilité. Il faut dire que je ne manque jamais une occasion de me mettre un plug ou un gode dans le cul. Et il n’en faut pas plus pour me faire
couiner. Je suis d’une grande sensibilité anale, et je prends très vite mon pied. Les doigts s’agitent et se multiplient, je vais à la rencontre de cette main experte pour la sentir au plus profond
de moi. A ce moment, le temps s’est arrêté. Mon cerveau n’est plus tourné que vers mon cul qui s’élargit. Il m’encourage à m’agiter, à plonger vers cette main experte pour tenter de l’engloutir. La
mienne ayant eu l’autorisation de me masturber, je vois dans la glace une paire de fesses rouges trouée par le bras de Dom Louise, une bite qui durcit. Combien de temps aura duré cette sodomie, je
ne sais. Cinq, dix, quinze minutes, peut-être plus, et je voudrais que cela ne s’arrête jamais. Je couine, je m’ouvre, je n’en finis plus de prendre du plaisir, un plaisir indescriptible, que seuls
les amateurs de sodomie peuvent connaitre. La jouissance atteint son paroxysme, et c’est en poussant de profonds soupirs que je me répands sur la serviette noire posée sur la table. Cette
jouissance est violente et longue, et il me faudra quelques instants pour me remettre de cette émotion intense. Mon visage est dorénavant illuminé d’un sourire béat, dont je ne peux me départir
après ces séances merveilleuses.
Dom Louise, vous êtes vraiment une grande femme, parfois cruelle mais toujours à l’écoute. Nous resterons encore un long moment à parler de plein
de choses, en toute humanité, après ces moments d’une perversité intense.
Merci Dom Louise, je reviendrai.
Votre lope parisienne.
Par domina louise
3
Ca y'est c'est fait ! Ce matin j'ai connu DomLouise.
Je ne reviens pas sur éléments des autres témoignages, tout ce qui est dit est vrai, mais je vais vous parler de moi.
Pour commencez, DomLouise n'a pas compris que je n'arrive pas directement avec mon collier de chien et sa chaine, il a fallu que je m'équipe dans l'escalier, puis nous avons pas mal discuté, c'est très agréable de dire la vérité. DomLouise sait écouter, c'est un peu son métier en même temps.
Là elle m'a demandé de me mettre à genoux devant elle, en montrant le sol du doigt. Son regard avait changé et me fixait avec une grande intensité. Ainsi installé à ses pieds, j'ai pris une première gifle, je lui donnerais un 10 sur 20, puis la deuxième, note : 15 sur 20. Elle se saisit de ma chaine et me demanda de la regarder droit dans les yeux et de ne surtout pas bouger la tête. La troisième gifle était bien réussie, une véritable mandale de 19 sur 20, Elle s'est assise sur son canapé, m'a fait baissé mon pantalon et mon caleçon. Les fesses à l'air, je me suis allongé sur ses genoux et là commence mon calvaire. Je quine comme un petit goret à chaque claque sur mon séant, à tel point que DomLouise m'a traité de petit caniche. Puis c'est la pause, les fesses bien roses, je regarde le résultat dans la glace. DomLouis me fait mettre tout nu et rebelote, je retourne en travers de ses jambes, je demande grâce, mais cela continue, j'essaye de mettre ma main en opposition pour freiner l'ardeur de mon bourreau. Je mors le coussin et je me dis que DomLouise va avoir mal à sa main, Il ne faut pas compter là dessus, elle est très résistante.
A la fin de la fessée, j'ai le droit à une pause cigarette, je discute à nouveau puis vient le moment de passer sur la table. Cuisses écartées, sans la moindre gêne, j'attends que DomLouise me pénètre avec sa main, un doigt, deux doigts et elle me fait mettre à quatre pattes pour mieux me fendre l'anus. Pour des raisons techniques, j'ai demandé que s'arrête là la pénétration anale, je me préparerai mieux la prochaine fois. (elle m'a conseillé de reprendre un plug pour m'entrainer à la maison,) On rediscute encore, moi tout nu sur ma chaise et DomLiose en face de moi. J'ai les yeux plongé dans son regard. Elle m'avait parlé de son amour pour la canne alors je lui ai demandé de m'en donné un petit coup ... pour la route. Ses yeux son redevenus sombres, elle s'est saisie de sa canne et m'a ordonné de me pencher en avant, les fesses en arrière. Elle me dit que je vais voir ce que c'est d'en redemander. Elle me donne alors des petits coups de canne de plus en plus fort et termine par un grand. Je ne conseille pas la canne. A présent, je me rhabille et juste avant de partir, pour bien me souvenir, je redemande à DomLouise, une gifle. Elle prend le temps de retirer son manteau et me colle une 17 sur 20 qui ripe un peu sur la bas de mon visage. Elle me fait mettre bien en face, me fait la regarder dans les yeux et m'assène une dernière baffe, du 20 sur 20, Merci Domlouise.
J'ai repris rendez vous pour le Dimanche 6 décembre 2009 à 10h, Je luis confirmerai dans la semaine. En attendant, j'ai le droit et l'envie de lui écrire sur dom.louise13@yahoo,fr
Je l'ai raccompagnée en voiture, puis je suis rentré chez moi, j'ai regardé mes fesses, elles sont roses et violettes sur le bas. J'ai remis mon collier de chien avec sa chaine et je vais me mettre au dodo pour rêver de DomLuoise.
Alexandre 45 ans 1ére fessée le 22 novembre 2009.
Je présente mes excuses réfléchies à DomLouise qui est un peu fâchée après moi. Elle va décider de mon châtiment pour mes propos. Je ne voulais pas froisser sa personne, mais j'accepte la punition.
si on y regarde bien je jugeais simplement l'intensité des gifles que j'ai reçues, mais je reconnais que ce n'est pas à moi, pauvre petit caniche de porter un jugement sur DomLouise. Ce que je peux dire c'est que sa spécialité, la fessée fait très mal.
la prochaine fois , je viendrai avec un plug en place, pour mieux me préparer à recevoir le poing de DomLouise.
Bonne après-midi.