Mercredi 8 avril
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08
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/Avr
08:21
J’ai conservé un souvenir cuisant de ma rencontre avec Dom Louise, cette fesseuse formidable de Marseille. Il y a
quelques semaines, je l’ai accueilli dans ma chambre d’hôtel, au petit matin, pour recevoir une véritable punition, dont mes fesses ont conservé les marques pendant deux jours.
Même si mes débuts dans le SM ont débuté par une séance de fessée qui m’a permis d’assouvir un fantasme, au cours de ma petite expérience dans ce monde, j’ai souvent préféré la soumission et les humiliations aux pratiques purement masochistes. En fait, je suis plutôt douillet. Pourtant, de retour à Marseille, j’ai repris contact avec Dom Louise pour solliciter une nouvelle rencontre. Je sais pourtant que j’aurai mal ! Mais je me sens en confiance avec cette femme.
Dom Louise a mon âge, et contrairement à certaines dominatrices que j’ai pu croiser, elle fait la part des choses, et sépare bien ses activités de fesseuse dominante et sa vie familiale, qui semble d’ailleurs bien remplie. Je me sens en confiance, et vous serez surement d’accord avec moi pour confirmer que la confiance est la base de ce type de rapports.
Comme d’habitude lorsque je prends un rendez vous de cette nature, ma nuit est agitée et peuplée de fantasmes plutôt inavouables. Et ce matin au réveil, mon érection était la preuve de mon excitation. Ma journée de travail ne fut pas un exemple de concentration, et je profitais du voyage en train pour me reposer un peu. Bien m’en a pris, car la soirée fut longue et riche.
Un passage éclair dans ma chambre d’hôtel destiné à être parfaitement présentable et propre sous tous rapports, et je prends le chemin du métro Marseillais. La tension est telle que j’ai les jambes qui flageolent sur le trajet. J’ai peur d’être en retard, de ne pas trouver le bon quai du premier coup. Le doute m’assaille, et si je sais dans mon fort intérieur que j’irais une fois de plus au bout de mes fantasmes, toutes sortes de pensée se bousculent à l’intérieur de mon cerveau torturé.
Sur les indications téléphoniques de Dom Louise, j’arrive enfin devant l’entrée de son repaire, mais la porte est fermée. Ai-je bien compris, ne suis-je pas en train de batailler devant la porte d’un quidam ? Dom Louise vient enfin m’ouvrir sa porte, et me fait pénétrer dans un petit cabinet douillet. Au fond se trouve son bureau, sur le coté un canapé est chargé de coussins, l’ensemble est chaleureux grâce à des couleurs au ton « rose fesse fessée » et à un éclairage adapté. Je me sens de suite rassuré, mais ce moment de calme n’est que de courte durée.
Dom Louise me présente une chaise sur laquelle elle m’invite à poser mon blouson et ma veste, mais je me fais immédiatement rappeler à l’ordre : « que font ces lunettes encore sur ton nez ? Tu crois peut-être échapper aux gifles que tu mérite ? » Je m’empresse de déposer les dites lunettes sur une table, et me présente, tête basse et honteux devant elle.
« Alors, ma lope parisienne ! Tu as encore fait des bêtises je parie ! Allez, dis moi ce que tu as fait ! »
Je déteste ces instants au cours desquels je dois exprimer à haute voix toutes les turpitudes que j’ai accomplies. Je ne résiste jamais à mes pulsions, mais c’est après que la honte se fait jour.
D’une petite voix, et les yeux rivés sur mes chaussures, j’avoue être allé sucer des queues dans un sexe shop parisien.
« Tu es vraiment une salope ! » me lance-t-elle avec une gifle retentissante. « Mais ne me fait pas croire que c’est tout ? »
Alors, je dois avouer que j’ai recommencé une seconde fois. Et c’est deux baffes qui me marquent les joues.
« Et tu t’es encore fait pisser dessus, ma lope ? » Malheureusement non, je n’en n’ai pas eu l’occasion, et le ton dépité que j’emploie pour lui répondre me vaut deux nouvelles claques bien senties.
Pour ceux qui ne connaissent pas, je dois faire un petit commentaire sur les gifles de Dom Louise. Elles sont d’une rare violence, aussi bien physiquement que moralement. J’ai l’impression d’être un vilain garçon qu’on punit.
Dom Louise est contente de son effet, et je la sens parfaitement détendue. Elle s’assoit à son bureau pour siroter un verre de Jack Daniels, m’en offre gentiment un, me fait mettre à genoux sous son bureau pour continuer de me questionner.
Elle m’interroge sur mes pratiques.
« Tu te fais enculer ? » Bien sur, dès que l’occasion se présente !
« Mais tu es vraiment une salope ! » Que répondre à cela, je vous le demande ?
« Et tu ne mets jamais de sous vêtement féminins ? » Mais bien sur que si, j’adore me travestir ! Dom Louise part d’un grand éclat de rire moqueur. « J’aimerais bien te voir ainsi travesti, cela doit être bien rigolo ! Ne bouges pas, je vais voir comment tu vas pouvoir t’habiller »
Elle part dans une autre pièce, et je l’entends fouiller dans une armoire tout en prononçant des commentaires humiliants. Elle choisi finalement une tenue dans laquelle je ferais bien pute, des bas blancs, un corset porte jarretelles noir, une culotte rouge (je lui ai avoué mon gout immodéré pour le rouge), et des chaussures à talons hauts à ma taille. Je m’habille le plus rapidement possible, mais ce corset n’est pas simple à attacher, et je dois me bagarrer pour accrocher mes bas, pendant que Dom Louise me houspille pour aller plus vite. Quand enfin je me présente devant elle, en claudiquant sur ces talons dont je n’ai pas l’habitude, Dom Louise éclate de rire. Manifestement, je ne ressemble à rien, sauf à un travesti sur le retour faisant le tapin, mais qui risque bien de ne pas monter beaucoup de clients. Elle me fait marcher, tourner. Je manque de me fouler une cheville à chaque pas, ce qui augmente le rire sarcastique de ma Maitresse.
Mais ce que Dom Louise aime par-dessus tout, c’est donner de véritables fessées.
Elle va chercher de quoi me bâillonner, et m’attacher aux barreaux de son canapé.La tension monte d’un cran, car je me souviens de la précédente fessée, de cette main ferme et sans pitié. Dom Louise s’installe confortablement sur son canapé, et je m’allonge sur ses genoux. Très vite, les claques s’abattent sur mes fesses, régulièrement, comme un métronome, la gauche, la droite, toujours plus fort. La brulure est intense, mais je ne peux, même si je le voulais, m’échapper de ses genoux. Une pause ridiculement courte, et les coups pleuvent à nouveau. Je gesticule, mais c’est le miracle de la fessée, la douleur devient plus facile à supporter. Et c’est Dom Louise qui décide d’arrêter, de peur de me laisser trop de marques. Elle me détache pour que j’admire le résultat dans une glace, et je peux constater la belle couleur rose de mes fesses. Mais j’en veux plus, et Dom Louise ne se fait pas prier pour me coucher de nouveau en travers de ses genoux. Mes fesses commencent à regretter d’en avoir redemandé, mais mon cerveau se délecte de cette punition. On s’occupe de moi, on me corrige de toutes les conneries que je fais, et cela me procure une sensation de réconfort. Et quand je me ferai fister tout à l’heure, les fesses bien rouges, le plaisir n’en sera que plus intense.
Après cette séance musclée, Dom Louise a besoin d’une petite pause, qu’elle met à profit pour mesurer l’étendue de mes perversions, ce qui a le don de m’humilier encore un peu plus.
Avec mes hauts talons et mes bas blancs, je me confie avec délectation à ma Maitresse, et cela repose mes fesses écarlates et brulantes. Je m’entends lui narrer quelques moments forts de ma vie de soumis, les fessées de Francis, l’éducation de Maitresse Sulfure qui m’a tant appris, mes jeux dangereux avec Maitres James, ou ma séance d’initiation avec Paul.
Ce moment de repos bien mérité par les deux parties, Dom Louise me conduit dans une pièce attenante, au centre de laquelle trône une table de massage et d’épilation. Elle m’ordonne de monter dessus, et d’attendre qu’elle se prépare, à quatre pattes, les jambes écartées. J’ai vraiment l’air d’une belle salope, et je suis heureux de l’entendre me complimenter sur mes fesses. Ma position lui permet de parfaitement admirer son œuvre et le contraste entre mes bas blancs et mes fesses rouges semble saisissant. Pour ma part j’ai hâte de sentir ses doigts fouiller mon intimité et forcer l’entrée de mon cul.
Quand elle est enfin prête, je reçoit une nouvelle réprimande. Je suis monté sur la table avec les chaussures, j’ai gardé ma culotte, et comble de la maladresse, je dois dégrafer mes bas pour retirer celle-ci.
Je reprends rapidement la pause, et je sens les doigts gantés de Dom Louise forcer l’entrée de mon petit trou. Elle fait cela en douceur, et le gel lui permet de me pénétrer avec une grande facilité. Il faut dire que je ne manque jamais une occasion de me mettre un plug ou un gode dans le cul. Et il n’en faut pas plus pour me faire couiner. Je suis d’une grande sensibilité anale, et je prends très vite mon pied. Les doigts s’agitent et se multiplient, je vais à la rencontre de cette main experte pour la sentir au plus profond de moi. A ce moment, le temps s’est arrêté. Mon cerveau n’est plus tourné que vers mon cul qui s’élargit. Il m’encourage à m’agiter, à plonger vers cette main experte pour tenter de l’engloutir. La mienne ayant eu l’autorisation de me masturber, je vois dans la glace une paire de fesses rouges trouée par le bras de Dom Louise, une bite qui durcit. Combien de temps aura duré cette sodomie, je ne sais. Cinq, dix, quinze minutes, peut-être plus, et je voudrais que cela ne s’arrête jamais. Je couine, je m’ouvre, je n’en finis plus de prendre du plaisir, un plaisir indescriptible, que seuls les amateurs de sodomie peuvent connaitre. La jouissance atteint son paroxysme, et c’est en poussant de profonds soupirs que je me répands sur la serviette noire posée sur la table. Cette jouissance est violente et longue, et il me faudra quelques instants pour me remettre de cette émotion intense. Mon visage est dorénavant illuminé d’un sourire béat, dont je ne peux me départir après ces séances merveilleuses.
Dom Louise, vous êtes vraiment une grande femme, parfois cruelle mais toujours à l’écoute. Nous resterons encore un long moment à parler de plein de choses, en toute humanité, après ces moments d’une perversité intense.
Merci Dom Louise, je reviendrai.
Votre lope parisienne.
Même si mes débuts dans le SM ont débuté par une séance de fessée qui m’a permis d’assouvir un fantasme, au cours de ma petite expérience dans ce monde, j’ai souvent préféré la soumission et les humiliations aux pratiques purement masochistes. En fait, je suis plutôt douillet. Pourtant, de retour à Marseille, j’ai repris contact avec Dom Louise pour solliciter une nouvelle rencontre. Je sais pourtant que j’aurai mal ! Mais je me sens en confiance avec cette femme.
Dom Louise a mon âge, et contrairement à certaines dominatrices que j’ai pu croiser, elle fait la part des choses, et sépare bien ses activités de fesseuse dominante et sa vie familiale, qui semble d’ailleurs bien remplie. Je me sens en confiance, et vous serez surement d’accord avec moi pour confirmer que la confiance est la base de ce type de rapports.
Comme d’habitude lorsque je prends un rendez vous de cette nature, ma nuit est agitée et peuplée de fantasmes plutôt inavouables. Et ce matin au réveil, mon érection était la preuve de mon excitation. Ma journée de travail ne fut pas un exemple de concentration, et je profitais du voyage en train pour me reposer un peu. Bien m’en a pris, car la soirée fut longue et riche.
Un passage éclair dans ma chambre d’hôtel destiné à être parfaitement présentable et propre sous tous rapports, et je prends le chemin du métro Marseillais. La tension est telle que j’ai les jambes qui flageolent sur le trajet. J’ai peur d’être en retard, de ne pas trouver le bon quai du premier coup. Le doute m’assaille, et si je sais dans mon fort intérieur que j’irais une fois de plus au bout de mes fantasmes, toutes sortes de pensée se bousculent à l’intérieur de mon cerveau torturé.
Sur les indications téléphoniques de Dom Louise, j’arrive enfin devant l’entrée de son repaire, mais la porte est fermée. Ai-je bien compris, ne suis-je pas en train de batailler devant la porte d’un quidam ? Dom Louise vient enfin m’ouvrir sa porte, et me fait pénétrer dans un petit cabinet douillet. Au fond se trouve son bureau, sur le coté un canapé est chargé de coussins, l’ensemble est chaleureux grâce à des couleurs au ton « rose fesse fessée » et à un éclairage adapté. Je me sens de suite rassuré, mais ce moment de calme n’est que de courte durée.
Dom Louise me présente une chaise sur laquelle elle m’invite à poser mon blouson et ma veste, mais je me fais immédiatement rappeler à l’ordre : « que font ces lunettes encore sur ton nez ? Tu crois peut-être échapper aux gifles que tu mérite ? » Je m’empresse de déposer les dites lunettes sur une table, et me présente, tête basse et honteux devant elle.
« Alors, ma lope parisienne ! Tu as encore fait des bêtises je parie ! Allez, dis moi ce que tu as fait ! »
Je déteste ces instants au cours desquels je dois exprimer à haute voix toutes les turpitudes que j’ai accomplies. Je ne résiste jamais à mes pulsions, mais c’est après que la honte se fait jour.
D’une petite voix, et les yeux rivés sur mes chaussures, j’avoue être allé sucer des queues dans un sexe shop parisien.
« Tu es vraiment une salope ! » me lance-t-elle avec une gifle retentissante. « Mais ne me fait pas croire que c’est tout ? »
Alors, je dois avouer que j’ai recommencé une seconde fois. Et c’est deux baffes qui me marquent les joues.
« Et tu t’es encore fait pisser dessus, ma lope ? » Malheureusement non, je n’en n’ai pas eu l’occasion, et le ton dépité que j’emploie pour lui répondre me vaut deux nouvelles claques bien senties.
Pour ceux qui ne connaissent pas, je dois faire un petit commentaire sur les gifles de Dom Louise. Elles sont d’une rare violence, aussi bien physiquement que moralement. J’ai l’impression d’être un vilain garçon qu’on punit.
Dom Louise est contente de son effet, et je la sens parfaitement détendue. Elle s’assoit à son bureau pour siroter un verre de Jack Daniels, m’en offre gentiment un, me fait mettre à genoux sous son bureau pour continuer de me questionner.
Elle m’interroge sur mes pratiques.
« Tu te fais enculer ? » Bien sur, dès que l’occasion se présente !
« Mais tu es vraiment une salope ! » Que répondre à cela, je vous le demande ?
« Et tu ne mets jamais de sous vêtement féminins ? » Mais bien sur que si, j’adore me travestir ! Dom Louise part d’un grand éclat de rire moqueur. « J’aimerais bien te voir ainsi travesti, cela doit être bien rigolo ! Ne bouges pas, je vais voir comment tu vas pouvoir t’habiller »
Elle part dans une autre pièce, et je l’entends fouiller dans une armoire tout en prononçant des commentaires humiliants. Elle choisi finalement une tenue dans laquelle je ferais bien pute, des bas blancs, un corset porte jarretelles noir, une culotte rouge (je lui ai avoué mon gout immodéré pour le rouge), et des chaussures à talons hauts à ma taille. Je m’habille le plus rapidement possible, mais ce corset n’est pas simple à attacher, et je dois me bagarrer pour accrocher mes bas, pendant que Dom Louise me houspille pour aller plus vite. Quand enfin je me présente devant elle, en claudiquant sur ces talons dont je n’ai pas l’habitude, Dom Louise éclate de rire. Manifestement, je ne ressemble à rien, sauf à un travesti sur le retour faisant le tapin, mais qui risque bien de ne pas monter beaucoup de clients. Elle me fait marcher, tourner. Je manque de me fouler une cheville à chaque pas, ce qui augmente le rire sarcastique de ma Maitresse.
Mais ce que Dom Louise aime par-dessus tout, c’est donner de véritables fessées.
Elle va chercher de quoi me bâillonner, et m’attacher aux barreaux de son canapé.La tension monte d’un cran, car je me souviens de la précédente fessée, de cette main ferme et sans pitié. Dom Louise s’installe confortablement sur son canapé, et je m’allonge sur ses genoux. Très vite, les claques s’abattent sur mes fesses, régulièrement, comme un métronome, la gauche, la droite, toujours plus fort. La brulure est intense, mais je ne peux, même si je le voulais, m’échapper de ses genoux. Une pause ridiculement courte, et les coups pleuvent à nouveau. Je gesticule, mais c’est le miracle de la fessée, la douleur devient plus facile à supporter. Et c’est Dom Louise qui décide d’arrêter, de peur de me laisser trop de marques. Elle me détache pour que j’admire le résultat dans une glace, et je peux constater la belle couleur rose de mes fesses. Mais j’en veux plus, et Dom Louise ne se fait pas prier pour me coucher de nouveau en travers de ses genoux. Mes fesses commencent à regretter d’en avoir redemandé, mais mon cerveau se délecte de cette punition. On s’occupe de moi, on me corrige de toutes les conneries que je fais, et cela me procure une sensation de réconfort. Et quand je me ferai fister tout à l’heure, les fesses bien rouges, le plaisir n’en sera que plus intense.
Après cette séance musclée, Dom Louise a besoin d’une petite pause, qu’elle met à profit pour mesurer l’étendue de mes perversions, ce qui a le don de m’humilier encore un peu plus.
Avec mes hauts talons et mes bas blancs, je me confie avec délectation à ma Maitresse, et cela repose mes fesses écarlates et brulantes. Je m’entends lui narrer quelques moments forts de ma vie de soumis, les fessées de Francis, l’éducation de Maitresse Sulfure qui m’a tant appris, mes jeux dangereux avec Maitres James, ou ma séance d’initiation avec Paul.
Ce moment de repos bien mérité par les deux parties, Dom Louise me conduit dans une pièce attenante, au centre de laquelle trône une table de massage et d’épilation. Elle m’ordonne de monter dessus, et d’attendre qu’elle se prépare, à quatre pattes, les jambes écartées. J’ai vraiment l’air d’une belle salope, et je suis heureux de l’entendre me complimenter sur mes fesses. Ma position lui permet de parfaitement admirer son œuvre et le contraste entre mes bas blancs et mes fesses rouges semble saisissant. Pour ma part j’ai hâte de sentir ses doigts fouiller mon intimité et forcer l’entrée de mon cul.
Quand elle est enfin prête, je reçoit une nouvelle réprimande. Je suis monté sur la table avec les chaussures, j’ai gardé ma culotte, et comble de la maladresse, je dois dégrafer mes bas pour retirer celle-ci.
Je reprends rapidement la pause, et je sens les doigts gantés de Dom Louise forcer l’entrée de mon petit trou. Elle fait cela en douceur, et le gel lui permet de me pénétrer avec une grande facilité. Il faut dire que je ne manque jamais une occasion de me mettre un plug ou un gode dans le cul. Et il n’en faut pas plus pour me faire couiner. Je suis d’une grande sensibilité anale, et je prends très vite mon pied. Les doigts s’agitent et se multiplient, je vais à la rencontre de cette main experte pour la sentir au plus profond de moi. A ce moment, le temps s’est arrêté. Mon cerveau n’est plus tourné que vers mon cul qui s’élargit. Il m’encourage à m’agiter, à plonger vers cette main experte pour tenter de l’engloutir. La mienne ayant eu l’autorisation de me masturber, je vois dans la glace une paire de fesses rouges trouée par le bras de Dom Louise, une bite qui durcit. Combien de temps aura duré cette sodomie, je ne sais. Cinq, dix, quinze minutes, peut-être plus, et je voudrais que cela ne s’arrête jamais. Je couine, je m’ouvre, je n’en finis plus de prendre du plaisir, un plaisir indescriptible, que seuls les amateurs de sodomie peuvent connaitre. La jouissance atteint son paroxysme, et c’est en poussant de profonds soupirs que je me répands sur la serviette noire posée sur la table. Cette jouissance est violente et longue, et il me faudra quelques instants pour me remettre de cette émotion intense. Mon visage est dorénavant illuminé d’un sourire béat, dont je ne peux me départir après ces séances merveilleuses.
Dom Louise, vous êtes vraiment une grande femme, parfois cruelle mais toujours à l’écoute. Nous resterons encore un long moment à parler de plein de choses, en toute humanité, après ces moments d’une perversité intense.
Merci Dom Louise, je reviendrai.
Votre lope parisienne.
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